安德烈·玛丽·德谢尼埃

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爱马仕

片段即序言。Dans nos vast citims, par le sort partagims, Sous deux injustice lois les hommes sonrangims, les uns, princes et grands, d'une avide富裕Étalent sans pudeur la barbare傲慢;没有人知道,没有人知道,没有人知道,没有人知道,没有人知道,没有人知道,没有人知道,没有人知道。不要eux-mêmes不要支付给你les splendeurs inhumanes,不要'eux-mêmes不要安排你的薪金,不要安排你的薪金,不要安排你的薪金,不要安排你的薪金,不要安排你的薪金。Moi, je me plus toujours, client de la nature, A voir son rich et bienfaisante et pure, Cherchant loin de nos murs les les temples, les palais Où la divinitveme me rventrele ses traits, Ces montes, vainquurs sacrimes des fureurs du tonnerre, Ces chênes, Ces sapins, premiers- nacrimes de la terre。我不认为这是一场悲剧。D' unfeu religieux le saint po te sampris Cherche leur pur sampris et plane sur leur犯罪。merbruyante, la voix du po de sublime lute contre les vents;让这些流动的人去做一些运动的努力,运动的人去做一些运动的人去做一些运动的人。A l'aspect du volcan, aux astres薪金,aux astres薪金,Luit, A l'Etna薪金,la bouillante薪金,薪金。 Heureux qui sait aimer ce trouble auguste et grand! Seul, il rêve en silence à la voix du torrent Qui le long des rochers se précipite et tonne; Son esprit en torrent et s'élance et bouillonne. Là, je vais dans mon sein méditant à loisir Des chants à faire entendre aux siècles à venir; Là, dans la nuit des coeurs qu'osa sonder Homère, Cet aveugle divin et me guide et m'éclaire. Souvent mon vol, armé des ailes de Buffon, Franchit avec Lucrèce, au flambeau de Newton, La ceinture d'azur sur le globe étendue. Je vois l'être et la vie et leur source inconnue, Dans les fleuves d'éther tous les mondes roulants. Je poursuis la comète aux crins étincelants, Les astres et leurs poids, leurs formes, leurs distances; Je voyage avec eux dans leurs cercles immenses. Comme eux, astre, soudain je m'entoure de feux; Dans l'éternel concert je me place avec eux: En moi leurs doubles lois agissent et respirent: Je sens tendre vers eux mon globe qu'ils attirent; Sur moi qui les attire ils pèsent à leur tour. Les éléments divers, leur haine, leur amour, Les causes, l'infini s'ouvre à mon oeil avide. Bientôt redescendu sur notre fange humide, J'y rapporte des vers de nature enflammés, Aux purs rayons des dieux dans ma course allumés. Écoutez donc ces chants d'Hermès dépositaires, Où l'homme antique, errant dans ses routes premières, Fait revivre à vos yeux l'empreinte de ses pas. Mais dans peu, m'élançant aux armes, aux combats, Je dirai l'Amérique à l'Europe montrée; J'irai dans cette riche et sauvage contrée Soumettre au Mançanar le vaste Maragnon. Plus loin dans l'avenir je porterai mon nom, Celui de cette Europe en grands exploits féconde, Que nos jours ne sont loin des premiers jours du monde. FRAGMENT II Chassez de vos autels, juges vains et frivoles, Ces héros conquérants, meurtrières idoles; Tous ces grands noms, enfants des crimes, des malheurs, De massacres fumants, teints de sang et de pleurs. Venez tomber aux pieds de plus nobles images: Voyez ces hommes saints, ces sublimes courages, Héros dont les vertus, les travaux bienfaisants, Ont éclairé la terre et mérité l'encens; Qui, dépouillés d'eux-mêmes et vivant pour leurs frères, Les ont soumis au frein des règles salutaires, Au joug de leur bonheur; les ont faits citoyens; En leur donnant des lois leur ont donné des biens, Des forces, des parents, la liberté, la vie; Enfin qui d'un pays ont fait une patrie. Et que de fois pourtant leurs frères envieux Ont d'affronts insensés, de mépris odieux, Accueilli les bienfaits de ces illustres guides, Comme dans leurs maisons ces animaux stupides Dont la dent méfiante ose outrager la main Qui se tendait vers eux pour apaiser leur faim! Mais n'importe; un grand homme au milieu des supplices Goûte de la vertu les augustes délices. Il le sait: les humains sont injustes, ingrats. Que leurs yeux un moment ne le connaissent pas; Qu'un jour entre eux et lui s'élève avec murmure D'insectes ennemis une nuée obscure; N'importe, il les instruit, il les aime pour eux. Même ingrats, il est doux d'avoir fait des heureux. Il sait que leur vertu, leur bonté, leur prudence, Doit être son ouvrage et non sa récompense, Et que leur repentir, pleurant sur son tombeau, De ses soins, de sa vie, est un prix assez beau, An loin dans l'avenir sa grande âme contemple Les sages opprimés que soutient son exemple; Des méchants dans soi-même il brave la noirceur: C'est là qu'il sait les fuir; son asile est son coeur. De ce faîte serein, son Olympe sublime, Il voit, juge, connaît. Un démon m