安德烈·玛丽·德谢尼埃

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海拉斯

au chevalier de Pange。* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *。我认为我们的生活是平静的;Ils后裔。海拉斯(Hylas)假装在花瓶上放了一个“花瓶”,埃特瓦(Et va)倒了一个“花瓶”,用了一个“花瓶”,用了一个“花瓶”,用了一个“花瓶”,用了一个“花瓶”,用了一个“花瓶”。Reines, au sein d'un bois, d'une source prochaine, Trois naïades l'ont vu 'avancer dans la plane。“我不知道你是谁,”她说。Et leur onde como 'instant + limpide + belle, un + lsamger zsamhiire, un murmure + double l'avertit Et soupire。accourt。Devant lui l'herbe jeette des fleurs; Sa main errante suit l'éclat de leurs couleurs; Elle oublie, à les voir, l'emploi qui la demande, Et s'égare à cueillir une belle guirlande. Mais l'onde encor soupire et sait le rappeler. Sur l'immobile arène il l'admire couler, Se courbe, et, s'appuyant à la rive penchante, Dans le cristal sonnant plonge l'urne pesante. De leurs roseaux touffus les trois nymphes soudain Volent, fendent leurs eaux, l'entraînent par la main En un lit de joncs frais et de mousses nouvelles. Sur leur sein, dans leurs bras, assis au milieu d'elles, Leur bouche, en mots mielleux où l'amour est vanté, Le rassure et le loue et flatte sa beauté. Leurs mains vont caressant sur sa joue enfantine De la jeunesse en fleur la première étamine, Ou sèchent en riant quelques pleurs gracieux Dont la frayeur subite avait rempli ses yeux. 'Quand ces trois corps d'albâtre atteignaient le rivage, D'abord j'ai cru, dit-il, que c'était mon image Qui, de cent flots brisés prompte à suivre la loi, Ondoyante, volait et s'élançait vers moi.' Mais Alcide inquiet, que presse un noir augure, Va, vient, le cherche, crie auprès de l'onde pure: 'Hylas! Hylas!'Il crie et mille et mille fois. Le jeune enfant de loin croit entendre sa voix; Et du fond des roseaux, pour le tirer de peine, Lui répond une voix non entendue et vaine. De Pange, c'est vers toi qu'à l'heure du réveil Court cette jeune idylle au teint frais et vermeil. Va trouver mon ami, va, ma fille nouvelle, Lui disais-je. Aussitôt, pour te paraître belle, L'eau pure a ranimé son front, ses yeux brillants; D'une étroite ceinture elle a pressé ses flancs; Et des fleurs sur son sein, et des fleurs sur sa tête, Et sa flûte à la main, sa flûte qui s'apprête A défier un jour les pipeaux de Segrais, Seuls connus parmi nous aux nymphes des forêts.